Une retraite méritée, largement, indiscutablement
Profites-en, vaillant ami !
Pars fier et rassuré
Que ton labeur acharné
Aura grandi et fleuri
Je suis fâchée de te voir déjà partir !
C’est peut être l’unique moment où je souhaiterais que la retraite
fût à 65 ans.
A qui dorénavant
Confier mes bugs ?
Qui taquiner maintenant
For his bad English?
Ça ne rime pas, murmura-t-il ; et alors ?
L’essentiel… l’essentiel :
C’est que tu nous manqueras, que tu nous manques déjà.
Reviens nous voir souvent, tu seras toujours le bienvenu.
Pour toutes ces années de présence, de sollicitude, de générosité,
je te dis : MERCI.
Fatima
Assaga
A ma sœur Fatima
RépondreSupprimerQue je suis content de partir
Juste au moment où je me sens faillir
Car j’ai peur, en restant, détruire
Ce que, nous avons mis longuement à construire
Avec mon devoir de frère ainé,
Travailler avec une sœur bien aimée
Fut un défi, pour lequel il faut être armé
De patience et de calme pour être acclamé
Car saches que grâce à toi j’ai découvert
Moult niches d’information à ciel ouvert
Tel un gisement resté longtemps à couvert
Et que grâce à ta générosité, il m’a été offert
D’en scruter les pourtours et les horizons
De remettre en question les sillons
Que j’ai toujours emprunté sans mouron
Et où bien souvent je tournais en rond
Mille merci pour tout ce que, toi ma sœur
Tu as fait pour moi au moment où mon cœur
Ne supportait plus son destin et la rancœur
Que je ressentais, peut être à tord, de mes confrères et consœurs
Je te serai, à jamais reconnaissant
Disposé à t’apporter un appui constant
Inconditionnel, sans fioriture et toujours consistant
Merci encore, d’avoir, dans ma vie, joué un rôle déterminant
Salah